Art subjectif et collier de pâtes.
Vous l’aurez compris, aujourd’hui nous parlons gobelet musical, bracelet brésilien et renne de Noël en argile. Nous parlons de tout ce qu’on essaye de savoir faire et qui ne sert à rien. Nous parlons bonheur, fierté et temps à perdre. 

Oyé oyé, nous parlons Création !

Ca commence en maternelle quand il faut peindre des cailloux pour la Fête des mères, et ça vous reste pour toujours. 
Ca va et ça vient, par vague. 

Et en ce moment, j’ai une grosse, grosse vague bracelet. Alors j’achète du fils, des attaches, des fermoirs, des perles, de la colle, des livres … A terme je vais probablement fabriquer une chose asymétrique à bouloches, digne d’un enfant de trois 3 ans, qui m’aura coûté mon poids en caviar. 
Maiiis bon. 

Mon problème avec la création intempestive, c’est que je fais dans la double, voire la triple vague. 
Je fais dans le tsunami créatif, avec les dégâts déco que ça implique.

Alors en plus de faire des petits nœuds-nœuds dans mes petits doigts-doigts, je me fous de l’argile et du glaçage à cupcake partout et finis par perdre le sommeil.

Parce qu’entre sculptures d’animaux de Noël hors saison et percussion pop-country sur Tupperware, mon cerveau est hyper sollicité, il bouillonne. Et qui bouillonne, fond. Mon cerveau se liquéfie et je ne dors plus. Je me transforme en légume. 
Et ça me donne envie de faire la cuisine. 

Et voilà ça recommence !


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