Dans bientôt c’est l’anniversaire de ma meilleure potesse.
Elle va avoir 24 ans.
Ce qui veut dire, mes amis, que je m’apprête à connaître
cette meufasse (miaou-la-classe) depuis la moitié de sa vie !
Je pourrais donc écrire un livre ou un film sur elle qui
s’appellerait « Half of her life » et qui enverrait pas mal de pâté.
Mais si jamais mon rôle devait être joué par Kristen Stewart je ne le
supporterais pas. Donc je m’abstiens, bien que convaincue qu’on avait un
chef-d’œuvre, juste là.
Ce que je peux faire par contre c’est vous raconter plus ou
moins ce que ça dirait.
A mon idée on serait sur une grande histoire d’amitié, sur
fond de transformisme puisque nous étions des garçons lors de notre rencontre.
C’est à dire qu’on avait une minette mais qu’on portait des boxers.
Y’aurait pas mal de musique, de concerts, de bracelets en caoutchouc
et de sac-à-dos Eastpak, au début, pendant le premier quart de l’histoire.
Ensuite y’aurait pas mal de musique, de concerts, de mimolette et de t-shirts trop grands, pendant encore quelques années, et même jusqu’à encore aujourd’hui, pour pas trop vous mytho.
Ensuite y’aurait pas mal de musique, de concerts, de mimolette et de t-shirts trop grands, pendant encore quelques années, et même jusqu’à encore aujourd’hui, pour pas trop vous mytho.
Plus tard on serait un peu sur le même schéma musical sauf
qu’on aurait des sac-à-mains, beaucoup moins pratiques pour les concerts ;
la faute aux culottes, ça rend débile.
La preuve en est, au milieu de tout ça on se sera dit des
mauvaisetés, on aura trouvé que nos lovers sont plus cools que notre friendship
et on aura complètement arrêté d’aller chez Gifi.
Et puis ce sera passé. Avec les amis qu’on connaît depuis la moitié de leur vie ça passe quand même toujours.
Et puis ce sera passé. Avec les amis qu’on connaît depuis la moitié de leur vie ça passe quand même toujours.
Aujourd’hui, on explose le budget en tickets de concerts et
en gilets à capuche de groupies et on passe une grande partie de notre temps à
espérer que l’autre va bien.
On sait que ça vogue probablement entre heureuse
et malheureuse sans qu’on se le dise toujours.
Mais on sait aussi qu’il n’y a
pas grand chose qu’un ciné/resto ne puisse guérir.
Alors on attend avec
impatience la prochaine séance.
« Quand des points communs tels que Maroon5, Pocahontas, et les
croque-monsieur à la brioche, font partie des fondations d’une amitié... il faut
vraiment des différences mutantes pour que ça s’arrête ».
Ah et aussi « Love ya bitch ». Problablement.
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