Combien de professionnels de la communication faut-il pour changer une ampoule ?
Pas beaucoup. Il suffit d'avoir un très, très gros culot.
Ca n’a pas beaucoup de sens jusqu’ici mais ça va venir, pas d’inquiétude.

Proposer de nouveaux programmes scolaires formateurs, grave puissants et super hype, c’est bien.
Mais se foutre de la poire/pomme /gueule de toute une profession en proposant un Master de Directeur de création, c’est mal, ça pique et ça fait le “badbuzz” sur la Terre entière.
Ou au moins à Paris. Ce qui semble revenir au même parfois.

Directeur de création c’est un directeur artistique (ou un concepteur rédacteur d’ailleurs, vous ferais-je dire) qui sait tellement bien ce qu’il fait et sait tellement bien le faire que tout le monde veut qu’il soit le chef de la création.
Le mec (ou la meuf, vous ferais-je également dire) qui dit si c’est bien ou si ça pue, mais qui dit jamais rien qui pue.
Le biiiig boss du bon goût. Le respect créatif sur pattes.
En gros, devenir Directeur de création ça ne s’apprend pas les gars, ça se mérite.

Mais admettons ...
C’est quoi le programme ?
Charisme et légitimité pour les nuls ?

Et on répond à quelle annonce ?
“ Cherche petit con prétentieux qui pète plus haut que son dos. Tête à claque et baskets trouées seraient un plus.”

NAN MAIS SANS BLAGUE.
Ah non vraiment je ne suis pas contente. Je suis dans cette école depuis bientôt trois ans et j’avais presque accepté le fait de payer la peau des fesses (des mollets et du dos) pour une réputation, un nom, une marque, une grooooosse machine à fric.
ET PAF !

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